L'homme qui veut "tuer le père" fait seul ses premiers pas vers lui-même. Lorsqu'il ne confronte pas les craintes et les déceptions, il risque de rester dans la colère. Entre hommes, chacun touche sa blessure du père, ses déchirements d'amoureux, ses échecs de parent. L'homme, enfin aime son père, que celui-ci soit là ou pas, parce qu'il le porte en lui-même.